SALUT L’ARTISTE

Il en est dans certains bloggeurs comme dans une certaine presse presque toutes. Certains se permettent d’annoncer la mort de gens vivants ou de « critiquer des gens dignes en écrivant n’importe quoi alors qu’ils ne les connaissent en rien. C’est une honte pour le respect du à chacun décédé(e) ou vivant. Je me devais de le dire, certain(e)s comprendront de par nos échanges

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Nos chemins se sont croisés en 1985. Sur les marches du théâtre municipal de la capitale Arverne. Tu avais une façon tout à fait particulière de subjuguer petits et grands.

Je n’ai pas du tout envie de pleurer ton départ. Je garde l’image du « Petit gros », qui savait cacher l’apparence de son talent. A ne pas en douter le breuvage, ne pouvait être meilleur.

Ayant une Maman prédestinée de Dolto et un Papa Russe, il est évident que la détonation ne pouvait être que la psychanalyse de l’enfant.

Tu as rejoint le Pays des Clowns, où avec Raymond, Coluche, François, Paul et la Autres, vous allez vous payer quelques bonnes tranches. Les Grosses Têtes seront en permanence branchées entre le fouteur des Belges, celui qui n’employait jamais de mots grossiers, sauf pour parler de son chien etc.

J’ouvre mes blogs et mon forum. Simplement pour te dire encore mon Gros !!
Ceux qui te connaissent pourront laisser un mot, comme ceux qui ont pu t’apprécier.

Tu es mon Ami et tu le resteras.

Je ne suis qu’un petit Panda et à l’époque tu me traitais déjà d’Ignorant.

Puis de Toi à Moi, ne le dit pas à tout le monde ; t’es quand même un drôle d’Enfoiré.

La dernière fois où nous nous sommes vus, il y a quelques mois, tu ne m’as rien dit. Qu’est-ce que tu as pu bouffer ce jour-là encore ! Nous avons confondus ou tout du moins, tu m’as trompé entre le jour et la nuit.

Je ne tiens pas du tout à me faire engueler par la Chaise au bord du trottoir. C’était ton expression favorite, pour désigner Philippe Bouvard. Il n’empêche que c’était un de tes fervents Amis tout comme nous l’étions.

Dis ? Tu ne penses pas qu’il faut en garder un petit peu, pour que les étoiles continuent encore à nous envoyer les Stars ? Tu brilles parmi l’élite, à ne pas confondre avec une citerne de 200 litres. Je te sers la louche en me souvenant l’un de tes succès.

Combien sont ceux qui devraient te dire merci, dans le monde du Show-Bizz et de la condition humaine.

En ce qui me concerne, je fais tout cela, et pour démontrer que nous danserons encore ensemble, mais pas avec les loups, je t’envoie un BIG BISOU

Le Panda

Patrick Juan.