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" LE PANDA VOUS PARLE "
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12 octobre 2007

Défendre Agora vox, c'est défendre nos libertés

*Les liens des auteurs se trouvent juste dessous leurs images pour rires*

Après cela dans la mesure ou quelqu'un nous dise que nous ne sommes pas célébrissimes consultez le "Guiness" ou le Whooooooooo!! 

Ce qui va suivre est un article en cosignature de multiples rédacteurs de cet "ailleurs". (Entre autre Gasty, Le Chat, Le Panda, l'Enfoiré, etc.). Il y avait de la franche rigolade. Ce n'était point une attaque contre Agora vox, mais, un seul désir d'amélioration et de corrections.

L'imagination, comme le droit d’expression était libre. Exprimez ce que ces rédacteurs avaient sur le cœur, avec humour, courtoisie, et respect étaient du parcours.

Nous l'avons proposé à la modération respectant ainsi « la ligne éditoriale ». Cela ne s'était jamais fait à ce jour. Nous pensions que si la modération existait avec de l’humour réellement nous aurions un article d'anthologie.

C'était notre liberté d'expression que l'on faisait taire tout du moins certains.

Toutes les suggestions correctes et humoristiques étaient les bienvenues. Sommes-nous parvenus à nos fins? Questions avec ou sans réponses?

Nous continuions à semer afin de récolter les fruits de la transparence !

Il ne fallait pas oublier que dans toute armée il faut un chef, nous l'acceptions normal…

Toute armée

a un chef

, mais sans soldats il n'y a pas d'armée.

La meilleure façon d’agir démocratiquement c’était de refuser la démagogie.

La transparence et une plus grande cohésion parmi les rédacteurs, le rejet de commentaires totalement insupportable.

L'humour, oui, le commentaire ferrugineux, non. (Dixit Bourvil)

La base d'Agora vox, c'était nous tous sans exception qui l'avons construite.

Nous nous devions de la défendre.

Nous avons seulement été les « ouvreurs de notre futur » de véritables bâtisseurs et non des ensevelisseurs.

Agora vox est ce qu'il est et notre plaisir était de communiquer le message que nous voulions voir véhiculer, dans la correction de tout.

Cet article fait suite aux commentaires de : Le vertige du monde selon Facebook 

Nous le publions même si nous devons nous battre pour que vous puissiez vous exprimer « Voltaire, Le Vrai ».

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Les affaires du Sports ou des Conjonctures…

Il était une fois, puis non ce n’est pas vrai, nous sommes des Pieds Nickelés presque ficelés dans une fausse armature. C’est à l’arbitre botté tout comme nous de nous compter et de voir si les filets sont ou ne sont pas percés. De plus il faut vérifier si le terrain, les joueurs portent la tenue réglementaire.

Dans une autre ville de la botte de l’Europe, un match devait se dérouler entre les bleus et les blancs, la pluie survint le match n’eu pas lieu et tous les élèves devant rendre leur copie le « jeudi » eurent 20/20 il n’y en eût que quelques uns qui décrirent la partie-match, « Ils » furent traités de « menteurs » et de fauteurs de troubles et punis de paraître à l’entrainement même cela dura des siècles. Jusqu’à la prescription….

Oui, on sait fut un temps il y eu le piège pour les « 3 petits nègres » d’Agata Christie, cela fit un tabac à la vente plus important que tous les ouvrages sur les présidentielles, y compris celles de 2007, ce n’est pas peu dire, on ne connaît pas même le nombre d’ouvrages vendus.

Personne c’est une règle absolu ne peu contester les décisions de l’Arbitre sous peine d’exclusion temporaire, voire définitive. Or certains jouant pour la première fois ne connaissaient pas les « règles du jeu » et ne sachant point que la modération suprême pouvait l’emporter sur les pages noircies et certains se demandèrent pourquoi, elle, lui, et pas moi ?

Non vous ne saurez rien sur le chauve, le mont Pelé ainsi commençait une chanson qui alla jusqu’au Vatican et valu presque l’excommunication de frère Pierre pas le pété de la cafetière mais celui du Perret.

Tout cela ne vaut pas un clair de lune à Maubeuge, une visite à Rome, une balade en gondole à Venise, une cabane au Canada, les lacs des moustiques de Fos-sur mer et le dictionnaire des villes serait trop petit pour comprendre les comptes de plus et moins, à ce tantôt.

Durant ce temps le manekenpis s’en donnait à cœur joie à Bruxelles, « pipi sans arrêt » vu que 8 jours avant il dégusta un Saint-nectaire, dont Louis XIV lui conféra son Soleil, comme certains devinrent maîtres des Arts dans les séries interdites aux moins de 18 ans, comme certaines cités à d’autres, car il n’y a pas de lumières et on y voit rien sur les livres. Comment vont écrire les « participants »

Plus personne ou presque ne se trouvait sur le terrain, l’arbitre avait décidé de regarder une ancienne série de l’O.R.T.F. : « l’homme invisible » dans une bambouseraie, mais il y avait tellement de chats qu’il sorti tout égratigné et dû se réfugier chez des lutins en marquant le silence durant un temps infini.

Il avait dû voir juste, puisqu’il ne devait rendre de comptes à personne, alors seul le fait de se voir prit par la patrouille le fit jouer la 7éme compagnie : « Pardon Chef, j’ai glissé » Oui mais le plus beau c’est qu’il entraina avec lui les billets pour la rentrée de la 1ere de

la pièce De La

 Grande ARTE…Donnée au Muséum de Rome via Bruxelles…

Voilà un menu que l’on ne peut manger que dans Rolls-Royce, et ne tentez pas de lui refiler une autre étrangère il a des gardes du corps, qui s’y connaissent en marque de bagnoles, il y a autant de soupapes que de pistons, que celui qui a dit cela soit banni à vie de mon Empire. « Je fais ce que je veux, quand je veux, où je veux, avec qui je veux et surtout comme je le peux répondit l’écho »

L’histoire des Pieds nickelés prend une autre tournure, vu que Tintin, et les enfoirés plus les Chats de mémère surgirent, je vous parle pas des plaintes de gouttières…De façons Furtives….Roméo et Juliette se rendirent à la noce des Trolls….Dans La Taverne, hôla Tavernier…à boire du Belge, mais sans Chianti…

Voilà le type de l’idée du Panda à chacun sa m…ho pardon ! je voulais écrire d’y mettre sa note de tarte ou de tartre…les conduites sont bouchées et le destop n’agit plus….

Le Panda

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Un dimanche comme les autres, enfin presque...

Il y a bien longtemps, dans le grand village de Romantica, une grande contestation se préparait dans les l'arènes de Fassebocus.

Lucius Varenus était au microphonus depuis un certain temps et vociféraient les avantages des promotors de l'arène. L'entrée était gratis, mais il fallait des sesterces pour alimenter les caisses. Spectators, vociferors, commentators, moderators étaient là dans les gradins. Les coussins n'allaient pas servir que pour faciliter les fessus.

Tout à coup, l'imperator Revempli apparu. Majestueux, il coupa Lucius et commença à vanter les talents des nouvelles armes que Articulus allait présenter aux yeux ébahis de l'assemblée.

Surpris, car il y avait bien longtemps qu'il n'avait pas pris la parole, les spectators se mirent à lancer des plaintes, des propositions d'améliorations fonctionnelles. Le philosophe Pietrus eut une série de propositions partiellement applaudies par le tribun Revempli. Les Detritus Wagonnus étaient là et comme d'habitude se devaient de faire acte de présence ou d'abscence en parlant pour ne rien dire.

Dans ces conditions Zenus ne put difficilement calmer le jeu. Furtifus n'était pourtant pas en reste.

Enfin, le glatiator Articulus entra sur le sable de l'arène et fut surpris que personne n'était près à voir sa prestation.

Les Chatus, toutes griffes dehors, s'y mirent pour corser l'ambiance du côté humour. Critiques, parfois suppliques continuaient plus acerbes l'une que l'autre.

Le Pandacus sautillait d'impatience. Le bigophonus grésillait encore dans ses oreilles.

Le bon peuple des spectators ne comprenait plus ce qu'ils étaient venus faire dans cette arènes ou plutôt cette galère.

Dans son coin, le moderator Enfoirus Mulefritus se rappelait les tablettes qu'il avait envoyées à l'imperator pour le prévenir que la révolte grondait.

L'Imperator Revempli soutint, mordicus, que son combat était bon. Il se retira très vite de l'arène Fassusbocus. Furieux. Car il n'avait pu faire jouer avec son pouce vers le ciel ou vers le sable de l'arène. Allait-il compter les points avec son personnus orditus?

Il avait une idée géniale en tête et la semaine prochaine, il la communiquerait (dixit lui-même).

Son idée: repeindre les murs de l'arène (en rose? Il ne savait encore) et affiner le sable de l'arène. Celui-ci était vraiment trop dur, lorsque les gladiators tombait sur le sol.

Il fallait qu'ils durent ces gladiators. Les sesterces en dépendaient.

Ils se retrouvèrent à la sortie du grand stadus chez La Tavernus du coin en rêvant d'une Romantica un peu plus romantique et plus collaboratice.

In vinus veritas, pensaient-ils tous.

L'Enfoiré

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Dagobert Rovelli

D’un domaine privé, l’Empereur réserva à ses sujets un espace public. Les sujets vinrent en très grands nombres. Tous les sujets furent admis. Les sujets parlementèrent, débattirent de tout et de rien, jusqu’à se rompre les mâchoires supérieures et inférieures. Un observateur leur dit même qu’ils ressemblaient à des animaux de basse-cour. La chose fut prise avec humour car l’humour était aussi admis dans l’espace public. Le Roi contempla son œuvre. Cela le servit fort bien puisque ces papotages anodins lui servirent de baromètre pour mesurer le pouls de la population.

Le Roi comprit également que ses sujets formaient deux groupes : les forts en thèmes et ceux qui se contentaient de dodeliner… pour un oui pour un non. Mais un jour, le roi sentit un malaise. Sa quiétude le quittait parce qu’il sentait bien, d’un flegme digne de

la Vieille Albion

, que l’espace public ne suffisait plus. Les forts en thèmes discutaient de désaffection à l’égard du lieu public. Les sujets dodelinant de la tête – sans coup férir – approuvaient. Quelques dissidences marquaient faiblement le rythme des conversations. Ces dissidences procédaient plus du scepticisme que de la remise en question brutale. Bref, les sujets de l’espace public revendiquaient. Ils ne se contentaient plus d’un bavardage sans conséquences. La revendication s’installait.

Le Roi fit grand cas de cette tendance jugée inappropriée à son encontre. Discuter selon les règles, cela va. Discuter en haussant le ton et en utilisant occasionnellement quelques mots qui créent des maux, cela va aussi. Mais glisser insidieusement dans ces conversations et badineries des contestations et des revendications, rien n’allait plus. Comment les sujets pouvaient-ils être aussi ingrats à son endroit, lui, le roi, si généreux de son espace public au sein de son domaine privé ? Sans chercher les causes du malaise de ses sujets, le Roi feignit une première attaque : l’indifférence.

Le Roi dont le nez ne reniflait que l’air des nuages pour éviter celui du crottin ignora donc ses sujets. Pour en évaluer les effets. Et effets il y eut. Les sujets – par grand mal et grand peine quittèrent un à un l’espace public pour préférer

la rue. Les

sujets se retrouvaient ainsi libérés des astreintes royales. Un matin, après quelques jours d’indifférence, le Roi vint se promener dans l’espace public. Fier de sa stratégie. Le choc fut brutal. Plus un chaton, plus un chat, plus un enfoiré, plus un panda, la Cour avait déserté. Holà mes gens ! Qu’est-ce ce silence ? Plus de murmures, plus de gloussements, plus de petits cris étouffés en rythme avec les débats, plus rien. Un silence mortuaire. L’espace public venait de mourir.

Le Roi ne s’en remit jamais. Lui et son domaine disparurent dans le souvenir des sujets pour traverser le désert de l’oubli et de l’indifférence. Le Roi subissait ce qu’il a indifféremment fait subir à ses sujets. Triste sort, mes amis.

Pierre R.

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Le monde d’internet

Au premier coup de sifflet, un matou qui s’était endormi sur le bord de la touche s’écria en sursaut« J’ai rêvé d’un monde meilleur ».

Stupéfait, les autres matous se regardèrent. Plus en retrait sur une estrade dominant la partie, des visages crispés en un rictus définitivement souriant (greffes managériales ayant réussi) s’agitèrent de soubresauts à l’évocation d’un monde meilleur, un monde meilleur que le leur, quelques rictus se perdirent en des expressions désabusés.

      Un monde d’internet ouvert sur l’échange, le partage, un monde d’idées à décoiffer les chauves-souris.

       Un monde ou tous les joueurs pourraient s’Azertyr, et que même les Qwerty trouveraient leurs places dans un jeu convenable.

Car l’enjeu du jeu au travers de l’envers des forums était de taille. Les vétérans avaient construit le terrain. On leur avait offert l’emplacement, le projet devait être un lieu d’échange ou tous pourraient s’exprimer, participer, se donner et de se dire en final « comme c’est si bon d’être ensemble». Mais si c’est bon, c’est cybion et cy c’est bion, c’est qui donc !

La partie ne faisait que commencer, il fallait une stratégie d’équipe. Cabau Rottweili avait été désigné pour emmener l’équipe vers la victoire du citoyen face à l’hégémonie cathodique des pouvoirs précédent et succédant. Devant l’enthousiasme, nous ne pouvions perdre. Cabau Rottweili en bonne place sur l’estrade assistait au coup d’envoi de la cinquième partie.

Perdre était impossible puisque nous avions tout à gagner. Au second coup de sifflet, le matou mal réveillé haussa ses poils, sorti ses griffes et se dit :

Suis-je une entité intelligente et logique, car je crains être dans le domaine référencé du floue, suis-je vraiment net ou internet? (les matous sont très philosophe parfois)

Je ne comprends pas ! Je joue le jeu et à la fin de chaque partie, je ne sais rien ! Est-ce donc pareil pour les équipes de rugbyman?..........

Retour au jeu !

Les Qwerty prennent 20 articles d’avances, un sale coup. Le gland bleu est entré sur le terrain, il enchaine à la suite toutes les galeries de France et de Mondial. Il se faufile à travers les touches du clavier, il se confond entre azerty et qwerty tellement son vocable est enwbygu.

La réplique ne se fait pas attendre, les Azerty font entrer BZH, toutes les kermesses et Fest-noz du terroir bigouden sont répertoriés en quelques jours. C’est du haut débit, Azerty reprend l‘avantage mais le gland bleu s’acharne et insulte jusque dans les tribunes, c’est un scandale, l’arbitre ne siffle pas.

Des missives sont jetées dans le jeu. Des procès atterrissent aux pieds de quelques joueurs sans que la partie soit interrompue.

Le coup de sifflet suivant, marque la fin de la première mi temps. Matou décide de narrer aux autres participant son inquiétude. Quel ne fut pas son étonnement ! D’un seul éclat de voix nous serions tous d’accord sur bien des points, nous ne pouvons accepter qu’en fin de partie personne ne sache combien nous firent… fissent..fissussent. A l’unanimité nous allons réclamussez…réclamussassez…réclamonssez la transparuce...transparence.

Oui ? Répondit Cabau Rottweili ! Que voulez-vous savoir ? Qui a gagné quoi?

CR -Et bien ! Répondit-il, je trouve qu'il y a quelque chose qui rend humble, dans la peinture des concepts heideggériens et les lectures métaphysiques transformées en canon de lecture contemporain sans autre raison de défigurer le plus de monde ou la couleur maladroite s’entremêlent pour aboutir à un tissu spongieux d’abstractions qui n’apprennent strictement RIEN au balourd. Trolls-????????

Mais si vous pouviez être plus précis !!! Par exemple, les recettes, on pourrait en discuter et voter pour savoir et connaitre le désirata de chaque joueurs afin qu’ils s’expriment sur ses intentions d’utiliser cette manne miraculeuse produite par l’ensemble  des participants!

Ne serait-ce qu’en reprenant l’actualité ou les articles de certains, qui nous renseignent suffisamment sur les aides et actions humanitaires à entreprendre.

CR -Hein ?....euh ! Oui . Je suis parfaitement d’accord avec vous?...mon outil essentiel d’AgentWebRanking me permet de connaître automatiquement la visibilité de chacun de vos articles et je tiens à vous faire savoir dès à présent que j’appuierais toutes les demandes qui me seront soumises. C’est de mon devoir et je m’y appliquerais, soyez en sûr !

Fin de la première mi temps.

Y aura-t-il une seconde mi temps ? Tout dépendra évidement des intentions généreuses ou bien cupide des responsables du jeu.

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Une petite recette de cuisine bien comme il faut

Etape 1: Acheter une dinde d'environs

5 kg

pour 6 personnes et une bouteille de whisky,  du sel,  du poivre,  de l'huile d'olive, des bardes de lard.

Etape 2: La barder de lard, la ficeler,  la saler,  la poivrer et ajouter un filet d'huile d'olive.

Etape 3: Faire prechauffer le four thermostat 7 pendant dix minutes.

Etape 4: Se verser un verre de whisky pendant ce temps la.

Etape 5: Mettre la dinde au four dans un plat a cuisson.

Etape 6: Se verser ensuite 2 verres de whisky et les boire.

Etape 7: Mettre le therpostat a

8 apres 20

binute pour la saisir.

Etape 8: Se bercer 3 berres de whisky.

Etape 9: Apres une debi beurre, fourrer l'ouvrir et surveiller la buisson de la pinde.

Etape 10: Brendre la vouteille de biscuit  et s'enfiler une bonne rasade derriere la bravate - non - la cravate.

Etape 11: Apres une demi heure  de blus,  tituber  jusqu'au bour.
Oubrir la putain de borte du bour et reburner - non - revourner - non - recourner - non - enfin,  mettre  la  guinde  dans  l'autre sens.

Etape 12: Se pruler la main avec la putain de borte du bour en la refermant - bordel de merde.

Etape 13: Essayer de s'asseoir sur une putain de chaise et se re-verdir 5 ou 6 whisky de verres ou le gontraire, je sais blus.

Etape 14: Buire - non - luire - non - cuire - non - ah  ben  si - cuire la bringue bandant

4 heures

.

Etape 15: Et hop, 5 berres de plus. Ca fait du bien par ou que ca passe.

Etape 15: R'tirer le four de la dinde.

Etape 16: Se rebercer une bonne goulee de whisky.

Etape 16: Essayer de sortir le bour  de la saloperie de pinde  de nouveau parce que ca a rate la bremiere fois. 

Etape 17: Rabasser la dinde  qui est tombee bar terre.  L'ettuyer avec  une salete  de chiffon et la foutre  sur un blat, ou sur un clat, ou sur une assiette. Enfin, on s'en fout...

Etape 18: Se peter la gueule a cause du gras sur le barrelage, ou le carrelage, de la buisine et essayer de se relever.

Etape 19: Decider que l'on est  aussi bien par terre  et binir la mouteille de rhisky.

Etape 20: Ramper jusqu'au lit, dorbir toute la nuit.

Etape 21: Manger la dinde  froide  avec une bonne mayonnaise,  le lendemain matin et nettoyer le bordel  que tu as mis dans la cuisine la veille, pendant le reste de la journee.

Finael

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