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" LE PANDA VOUS PARLE "
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17 juillet 2006

CE QUI PEUT EXPLIQUER LE JEU DU PLUS FORT QUI TOURNE COURT !!

villepin_final

Dominique de Villepin doit se rendre aujourd'hui à Beyrouth, à la demande de Jacques Chirac, pour y rencontrer son homologue libanais Fouad Siniora. Selon un communiqué de l'Elysée diffusé en marge du sommet du G8, le chef du gouvernement est chargé d'exprimer "le soutien de la France et la solidarité du peuple français envers le peuple libanais dans l'épreuve". Dominique de Villepin et Philippe Douste-Blazy doivent quitter Paris à l'issue d'une deuxième réunion de crise à Matignon, après celle de ce dimanche, sur la situation au Liban.
Evacuation
Les huit grandes puissances réunies à Saint-Pétersbourg depuis samedi ont, par ailleurs, surmonté leurs divergences pour lancer un appel à toutes les forces en présence à cesser leurs hostilités pour enrayer la spirale de la violence. Jacques Chirac a notamment réclamé le désarmement du Hezbollah "dans les délais les plus brefs", avant de critiquer le caractère "disproportionné" de la riposte d'Israël, qui a engagé une vaste offensive militaire après la capture de deux de ses soldats par la milice chiite et des tirs de roquettes sur son territoire.

Par ailleurs, les Etats organisent le rapatriement de centaines de leurs ressortissants, touristes ou résidents, présents sur le territoire libanais. Les premiers Français - ils sont 20 000 au total - devraient être évacués aujourd'hui par un ferry affrété par le gouvernement. Ce ferry, le "Iera Petra", qui vient de Grèce, doit accueillir quelques 900 Français et 300 membres d'autres pays européens. La France a mobilisé des avions, des navires, des hélicoptères et plus de 800 militaires pour cette opération.

QUE PEUT-IL ARRIVER ?

Il existe deux familles de bombes : • les bombes à fission (ou bombes A) • les bombes à fusion (ou bombes H, appelées aussi thermonucléaires). Les bombes A et les centrales électronucléaires utilisent toutes les deux le phénomène de fission du noyau.

La centrale utilise cette fission pour créer de l'énergie sous forme de chaleur. La bombe, elle, utilise la fission pour créer une dégagement énorme : une explosion !

Pour cela, ce sont des milliards d'atomes qui vont subirent la fission : c'est la réaction en chaîne dont nous avons déjà parlé. Pour faire une bombe, la réaction en chaîne va être "emballée" : elle va produire un énorme dégagement d'énergie dans un temps très court.

Est ce que le nucléaire civil est lié au nucléaire militaire? On entend par "nucléaire civil", l'énergie nucléaire produite par les centrales pour répondre aux besoins de la population. Le plutonium nécessaire à la fabrication des bombes atomiques est produit par les centrales nucléaires dites « civiles ». Sans ses centrales, la France n'aurait pas de bombes atomiques.

Quelles sont les mesures mises en place pour éviter l'usage d'armes nucléaires ? L'Union Européenne devrait jouer un rôle plus actif dans les politiques de désarmement et de non-prolifération et tendre également à renforcer sa coopération avec les Etats-Unis contre la diffusion des armes de destructions massives.

Le parlement Européen a mis en place un Traité de non - prolifération des armes nucléaires.

Le nombre d'Etats signataires s'élève à 189 (avec la Corée du Nord). Seuls trois pays ne l'ont pas signé : l'Inde, le Pakistan et Israël*.

Tous les États détenant l'arme nucléaire signataires du Traité de non-prolifération sont invités à prendre des mesures significatives en vue d'éliminer leurs arsenaux nucléaires. La Russie est appelée à contribuer davantage aux programmes de destruction de ses armes chimiques et de traitement de son plutonium. Quels pays détiennent l'arme nucléaire ? Les cinq pays, appelés "Club des cinq", qui possèdent officiellement l'arme nucléaire sont : • Etats-Unis • Russie • Royaume Uni • France • Chine. Ils disposent d'un statut particulier : ils ne doivent pas détruire leurs armes nucléaires car ils les détenaient avant la mise en place du Traité. En signant le Traité, ils se sont engagés à ne pas aider d'autres pays à obtenir l'arme nucléaire et à ne pas non plus agresser un pays ne disposant pas de bombe nucléaire. Pour comprendre

Hamas : organisation islamiste qui prône la lutte armée contre Israël et sa population. Le Hamas vient de remporter les élections législatives, il est donc majoritaire au parlement palestinien et forme le gouvernement. Le Hamas ne reconnaît l'existence d'Israël qu'implicitement et seulement depuis quelques jours.

Fatah : parti politique palestinien laïque. Yasser Arafat était dirigeant du Fatah. Le président de l'autorité palestinienne actuel, Mahmoud Abbas est membre du Fatah. Le Fatah a utilisé les attentats dans les années 70 puis a prôné la négociation avec l'Etat d'Israel. Le Fatah a été l'interlocuteur privilégié pour négocier la paix. Le gouvernement israélien actuel a emprisonné et tué de très nombreux membres du Fatah.

BIS*

Le nombre d'Etats signataires s'élève à 189 (avec la Corée du Nord). Seuls trois pays ne l'ont pas signé : l'Inde, le Pakistan et Israël*. Que représente Israël dans le cadre de ses forces « C'EST PARCE QU'ISRAËL DÉTIENT LA BOMBE ATOMIQUE QU'IL PEUT PRATIQUER SANS CRAINTE L'APARTHEID »

UNE INTERVIEW AU NOM DES ENFANTS DE LA PALESTINE IN EX TEXTO TROP C’EST TROP¨NON ?

Quel était votre travail en Israël, avant que des agents du Mossad ne vous kidnappent à Rome, en octobre 1986 ? Mordechaï Vanunu : Depuis neuf ans, je travaillais au centre de recherches en armements de Dimona, dans la région de Beer Sheva. Juste avant de quitter ce travail, en 1986, j'avais pris des photos à l'intérieur de l'usine, afin de montrer au monde qu'Israël cachait un secret nucléaire. Mon travail, à Dimona, consistait à produire des éléments radioactifs utilisables pour la fabrication de bombes atomiques. Je savais exactement quelles quantités de matières fissiles étaient produites, quels matériaux étaient utilisés et quelles sortes de bombes étaient fabriquées. Votre pays était secrètement détenteur de l'arme nucléaire, n'était-ce pas là prendre un très grand risque ?

Mordechaï Vanunu : Si j'ai décidé de le faire, c'est parce que les autorités israéliennes mentaient. Elles se répandaient, répétant que les responsables politiques israéliens n'avaient nullement l'intention de se doter d'armes nucléaires. Mais, en réalité, ils produisaient beaucoup de substances radioactives ne pouvant servir qu'à cette seule fin : confectionner des bombes nucléaires. Des quantités importantes : j'ai calculé qu'ils avaient déjà, à l'époque en 1986 ! plus de deux cents bombes atomiques. Ils avaient aussi commencé à fabriquer des bombes à hydrogène, très puissantes. Aussi ai-je décidé de faire savoir au monde entier ce qu'ils tramaient dans le plus grand secret. Et puis, aussi, je voulais empêcher les Israéliens d'utiliser des bombes atomiques, afin d'éviter une guerre nucléaire au Moyen-Orient. Je voulais contribuer à apporter la paix dans cette région. Israël, détenant déjà des armes surpuissantes, pouvait faire la paix : il n'avait plus à redouter une quelconque menace palestinienne, ni même arabe, car il possédait tout l'armement nécessaire à sa survie. Préoccupé par la sécurité, dans l'ensemble de la région ?

Mordechaï Vanunu : Oui. Absolument. Bien entendu, ce n'est pas pour le peuple israélien que j'ai fait ce que j'ai fait. Les Israéliens avaient élu ce gouvernement, et ce gouvernement avait décidé de les doter d'armes nucléaires. Vous savez, tous les Israéliens suivent de très près la politique du gouvernement israélien Mais, en ce qui me concerne, je réfléchissais à partir du point de vue de l'humanité, du point de vue d'un être humain, de tous les êtres humains vivant au Moyen-Orient, et aussi de tous les êtres humains, dans le monde entier. Parce que ce qu'Israël avait fait, beaucoup d'autres pays pourraient le faire.

Une du quotidien britannique "The Sunday Times" du 5 octobre 1986 : "Révélation : les secrets de l'arsenal nucléaire israélien" Aussi ai-je décidé, dans l'intérêt de l'humanité, de faire connaître au monde entier le danger que représentaient les armes nucléaires secrètes d'Israël. En 1986, on était en pleine Guerre froide et les armes nucléaires proliféraient. Elles étaient en train de se répandre dans plusieurs pays encore non nucléaires, comme l'Afrique du Sud, et d'autres. Le danger représenté par les armes nucléaires était réel. De nos jours, ce danger a diminué. Vous vous exposiez ? Pourquoi était-ce vous, en particulier, qui deviez prendre un si grand risque, et personne d'autre ? Mordechaï Vanunu : Bien entendu, je savais ce que je risquais. Mais ce que je pouvais faire, personne d'autre que moi n’aurais pu le faire. Je savais que j'aurais eu affaire au gouvernement israélien. Ce n'est pas comme si j'avais été quelqu'un qui s'en serait pris à des intérêts privés ; je savais que je m'en prenais directement au gouvernement israélien et à l'État juif israélien. Je savais donc qu'ils pouvaient me châtier, qu'ils pouvaient me tuer, qu'ils pouvaient faire de moi absolument tout ce qu'ils voulaient. Mais j'avais la responsabilité de dire la vérité au monde. Personne d'autre que moi n'était en mesure de le faire : il était donc de mon devoir de le faire. Quels qu'aient été les risques. Votre famille vous a-t-elle, soutenu ?

Mordechaï Vanunu : Les membres de ma famille ont été incapables de comprendre ma décision. Pour eux, le plus dérangeant fut de découvrir que je m'étais converti au christianisme. Pour eux : c'était plus dommageable, plus douloureux que le fait que j'ai révélé les secrets nucléaires d'Israël Je les respecte, ils respectent ma vie. Nous sommes restés en bons termes, mais nous ne nous fréquentons plus. Vous sentez-vous seul ?

Mordechaï Vanunu : Oui. Bien sûr, je suis seul, ici, à la cathédrale Saint-Georges. Mais j'ai beaucoup d'amis, qui me soutiennent. Vous avez-vous été jugé et emprisonné ? Mordechaï Vanunu : Mon procès a été tenu dans le secret le plus absolu. J'étais seul, avec mon avocat. J'ai été condamné pour espionnage et trahison. Les autorités israéliennes se sont vengées sur moi en me maintenant en isolement cellulaire durant toute la durée du procès. Elles n'autorisaient personne à me voir ni à me parler, et m'interdisaient de m'adresser aux médias. Elles ont publié beaucoup de désinformation à mon sujet. Le gouvernement israélien a utilisé tout son pouvoir médiatique pour faire un lavage de cerveau de l'opinion publique. Pour laver le cerveau des juges, aussi, au point de les convaincre de la nécessité de me mettre en prison. Ainsi, mon procès a été tenu secret et les médias n'ont pas pu accéder à la vérité ; ils n'ont pas pu m'entendre. Les gens étaient convaincus que j'étais un traître, un espion, un criminel. Il n'y eut pas un atome de justice, dans ce jugement. Mais il n'y avait pas que le procès : le plus cruel fut de m'isoler, en prison. Ils m'ont puni non seulement par l'emprisonnement, mais aussi en m'isolant totalement, en m'épiant en permanence, au moyen de mauvais traitements particulièrement vicieux et cruels : ils ont essayé de me faire mettre en colère, ils ont essayé de me faire regretter ce que j'avais fait. J'ai été maintenu au secret, dix-huit années durant, dont onze années et demie en isolement total. La première année, ils ont mis des caméras dans ma cellule. Ils ont laissé la lumière allumée trois années d'affilée ! Leurs espions me battaient sans cesse, ils m'empêchaient de dormir. J'ai été soumis à un traitement barbare ; ils ont tenté de me briser. Mon objectif était de tenir, de survivre. Et j’ai réussi !…

On ne vous a pas pendu haut et court, comme le voulait pourtant le ministre de la Justice d'alors, Tommy Lapid. Vous avez tenu bon, et vous avez été relâché le 21 avril 2004. Vous aviez tout juste 50 ans !

Mordechaï Vanunu : S'ils m'ont relâché, c'est parce que j'avais purgé les dix-huit ans de prison auxquels ils m'avaient condamné. Ils voulaient me tuer. Mais, en fin de compte, le gouvernement israélien a décidé de n'en rien faire. En avril 2004, les télévisions ont montré votre sortie de prison. Le monde a alors découvert ce qui vous était arrivé. Vous êtes apparu devant les caméras heureux, déterminé, combatif : tout le contraire d'un homme brisé Mordechaï Vanunu : Sortir de prison, aller parler au monde entier, fêter ça après dix-huit ans de captivité, d'interdiction de tout : ce fut un grand moment

Vos geôliers n'ont donc pas réussi à vous briser mentalement ? Mordechaï Vanunu : Non ; absolument pas. Mon objectif était de sortir, et de parler au monde entier, de faire comprendre aux autorités israéliennes qu'elles avaient échoué. Mon but était de survivre, et cela a été ma plus grande victoire sur toutes ces organisations d'espionnage. Ils ont réussi à me kidnapper, à me traîner devant leur tribunal, à me maintenir en prison, au secret, pendant dix-huit ans et j'ai survécu à tout ça. J'ai souffert, certes ; mais j'ai survécu. Malgré tous leurs crimes, je suis toujours vivant, et je suis même en excellente santé ! Je suis de forte constitution ; c'est sans doute grâce à çà, que j'ai surmonté l'épreuve.

Qu'est-ce qui vous a aidé à tenir ? Ma fermeté. Le fait de continuer à être convaincu que j'avais eu raison de faire ce que j'avais fait. La volonté de leur faire comprendre que, quoi qu'ils fassent pour me châtier, je continuerais à rester en vie. Le plus grand obstacle auquel vous ayez à faire face, actuellement ?

On m'interdit de quitter Israël. J'ai été libéré de prison, mais ici, en Israël, je suis dans une grande prison. Je voudrais quitter ce pays, aller jouir de la liberté dans le vaste monde. J'en ai marre du pouvoir israélien. L'armée peut venir m'arrêter à tout instant, me punir. Je sens que je suis à leur merci. J'aimerais tellement vivre loin, très loin d'ici Israël vous laissera-t-il quitter le pays ? Je n'en sais rien. Ils m'ont interdit de quitter Israël pendant une année. Un an ayant passé, ils ont renouvelé l'interdiction pour une nouvelle année, qui prendra fin en avril prochain. Mais ils peuvent encore prolonger l'interdiction, aussi longtemps qu'il leur plaira Quel regard portez-vous sur le Traité de non-prolifération nucléaire quand, dans le cas d'Israël, on tolère « l'ambiguïté nucléaire », alors qu'on met constamment sous pression l'Iran un pays qui, lui, se soumet aux inspections ?

Tous les pays devraient être ouverts aux inspections internationales et dire la vérité sur ce qu'ils sont en train de faire, secrètement, dans toutes les installations nucléaires dont ils disposent. Israël n'a pas signé le Traité de non-prolifération nucléaire. Ce sont près de cent quatre-vingt pays qui l'ont fait, dont tous les pays arabes. L'Égypte, la Syrie, le Liban, l'Irak, la Jordanie : tous les pays voisins d'Israël ont ouvert leurs frontières aux inspections de l'AIEA. Israël est le pire exemple. C'est le seul pays qui ait refusé de signer le Traité de non-prolifération nucléaire. Les États-Unis et l'Europe devraient commencer par régler le cas d'Israël ; Israël doit être considéré à l'instar de n'importe quel autre pays. Nous devons en finir avec l'hypocrisie, et obliger Israël à signer le Traité de non-prolifération nucléaire. Il faut imposer à Israël le libre accès des inspecteurs de l'AIEA au centre de Dimona.

L'Iran, qui remplit ses obligations et accepte les inspections de l'ONU, est pourtant menacé de sanctions. Israël, qui est doté de l'arme nucléaire et refuse toute inspection de l'AIEA, ne fait l'objet d'aucune poursuite. Pourquoi ce « deux poids, deux mesures » de la part des États-Unis, mais aussi de l'Europe ?

Oui ; c'est même encore pire que ce que vous dites : non seulement on ne s'en prend pas à 
Israël, mais on aide même ce pays en secret. Il y a une coopération secrète entre Israël
et la Grande-Bretagne, la France et les États-Unis. Ces pays ont décidé de contribuer à
la puissance nucléaire d'Israël afin de faire de ce pays un État colonial, dans le monde
arabe. Ils aident Israël, parce qu'ils veulent que ce pays soit à leur service, en tant
que pays colonialiste contrôlant le Moyen-Orient, ce qui leur permet de s'emparer des
revenus pétroliers et de maintenir les Arabes dans le sous-développement et les conflits
fratricides. Telle est la principale raison de cette coopération.

L'Iran n'est-il pas, comme l'affirment Israël et les États-Unis, une menace ?

Étant sous le contrôle des inspecteurs de l'AIEA, l'Iran ne représente aucun danger. Les experts occidentaux savent parfaitement quelle est la nature du programme nucléaire iranien. Contrairement à Israël, qui ne laisse personne accéder à ses installations nucléaires. C'est la raison pour laquelle l'Iran a décidé d'aller de l'avant et de dire au monde entier : « Vous ne pouvez pas exiger de nous plus de transparence, alors que vous continuez à fermer les yeux sur ce qui se passe en Israël ! » Tous les Arabes voient, depuis quarante ans, qu'Israël a des bombes atomiques et que personne ne fait rien contre ça. Tant que le monde continuera à ignorer les armes atomiques d'Israël, il ne pourra pas se permettre de dire quoi que ce soit à l'Iran. Si le monde est vraiment préoccupé, et s'il veut sincèrement mettre un terme à la prolifération nucléaire, qu'il commence donc par le commencement, c'est-à-dire : Israël !

Vous devez être agacé, quand vous entendez Israël, qui n'est pas en règle, dire qu'il est prêt à bombarder l'Iran, qui, à ce stade, n'a enfreint absolument aucune règle ! Oui ; cela me met hors de moi. Nous n'avons rien à reprocher à l'Iran : avant de faire quoi que ce soit contre un quelconque autre pays, il faut s'occuper du cas israélien. Si quelqu'un veut s'en prendre à l'Iran, il doit, préalablement, s'en prendre à Israël. Le monde ne peut ignorer ce qu'Israël fait, en la matière, depuis plus de quarante ans Les États-Unis devraient obliger Israël à signer le Traité de non-prolifération nucléaire. Et il est grand temps, aussi, pour l'Europe, de reconnaître officiellement qu'Israël possède des bombes atomiques. L'ensemble du monde arabe devrait être extrêmement inquiet en entendant tous ces discours qui incriminent l'Iran, qui ne possède aucune arme atomique, et qui continuent à ignorer Israël.

israelien
Mordechaï Vanunu

N.B. :

Ingénieur au centre de Dimona Mordechaï Vanunu révéla, en 1986 au Sunday Times, l'existence du programme nucléaire militaire israélien. Enlevé en Italie par le Mossad alors qu'il venait de contacter les journalistes britanniques et avant que leur article ne paraisse, il fut jugé à huis clos et emprisonné dix-huit ans. Bien qu'interdit de contact avec la presse, il continue à subir la pression des autorités Israéliennes. Il est devenue Chrétien il vit aux dernières informations en Australie, fuyant les représailles israéliennes. Agé à ce jour de 52 ans, il est né le 14 mai 1954, en Israël, c’est un déraciné par sa propre nation sans être un traître dommage. Il reste un anti nucléaire convaincu pour l’utilisation des armes cela veut-il dire pacifiste ?

A la connaissance d’un tel document en presque semi exclusivité par les temps des deux poids deux mesures qui courent autour des cadavres la France agit, comme elle ne l’a jamais jusqu’à ce jour dans une « agression qui va au-delà de toute forme de condition respectable » Cela quoi qu’il en soit peut faire dire à celles et ceux qui y croient : »Si dieu le veut »

Le Panda

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