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" LE PANDA VOUS PARLE "
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6 février 2008

Trois mois après « dominicus »

Par lenfoire le 4 février 2008

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Vous vous souvenez de ce grand village de Romantica ?
Nous avions eu l’occasion de le citer dans l’article « Défendre Agora vox,c’est défendre nos libertés ». Une grande contestation y avait eu lieu sur le sable de l’arène de Fassebocus.

Certains avaient même osé parler de félonie. Beaucoup d’actors et de gladiators avaient depuis changé d’arène et de village. Même Idefix avait changé d’avis et avait choisi d’aller voir si le sable de l’arène était plus douce en tombant ailleurs. Le sable à Fassebocus était devenu très dur et les préavis étaient tombés sur la table de l’imperator Revempli. Des échos d’une autre arène dans le village voisin avaient permis d’assurer la continuation du spectacle. Le doute était pourtant de la partie. Faire ses preuves quand c’est nouveau, était un véritable chalenge. Trois mois avaient pourtant suffi pour confirmer que cette alternative était bonne. Chacun y continua, dès lors, son chemin sur les bancs publics en se foutant pas mal du regard oblique des « passants honnêtes ». On ne pensait même plus à aller voir ce qui restait dans l’ancienne assiette.

L’entrée des arènes restait gratis et les sesterces tombaient dans les caisses de chaque côté. Un long fleuve tranquille les séparait.

D’un côté, spectators, vociferators, commentators étaient encore presque tous dans les gradins. Les coussins avaient seulement changé de couleur mais toujours pas pour servir ce que le fessus désirait. Les moderators s’étaient multipliés comme des petits pains. Des règles ajustées le permettaient. Detritus Wagonnus, après avoir injurié de tous les noms ceux qui avaient changé de crèmerie. Tout à coup, il avait reçu un bon coup sur la tête d’Alzemerus. Lui aussi, perdu, avait déménagé ses pénates ailleurs. Il reprenait, malheureusement pour ses nouveaux collègues, ses habitudes en parlant pour ne rien dire.

Sur l’autre rive, bien que les constructions de chacun avaient été différentes, charpentées ou non, c’était bien plus l’entente cordiale. Une ambiance de « café de commerce » y était réapparue. Les moderators avaient même été mis en chômage.

Enfoirus Mulefritus et Manekenpix avaient traversé le Rubicon dès le début. Bonne mémoire, il se rappelait des risques des tablettes qu’il avait envoyées à l’imperator.

Alors, là-bas, on s’étonnait. On comptait les points. On s’interrogeait. Comment cela se pouvait?

Un jour, à partir de l’autre rive, n’y tenant plus dans son questionnement, l’imperator réapparut. Majestueux, toujours un peu mielleux, pressé par Avantipopulus, il envoya Bonusmalus, Chorus et Biscornus en délégation avec plusieurs de ses papyrus pour donner en cascade des nouvelles de plus en plus précises. Il présenta la situation de son village avec les conseils de Cétaubofix en se réfugiant avec les chansons d’Assurancetourix. Abraracourcix et Madame Cétautomatix l’avaient rassuré comme ils en avaient l’habitude. Panoramix et Bonnemine étaient visiblement de la partie aussi. D’Amnésix et de Caius Infarctus, on en avait étudié les bonnes manières ou les risques.

Sur le parchemin, suivant le bon principe de « Verba volant, scripta manent », il était écrit ces mots assez peu clair dans leur intention:

« J’espère que les évènements récents ont pu vous démontrer:
Ma transparence face au fonctionnement de mon site (tant avec la prochaine fondationus qu’avec le récent système de modération ouvert potentiellement à environ un millier de rédactors)
Et aussi que je n’avais aucun “lien privilégié” ou favoritisme avec aucun rédactor même avec celui que vous détestiez tant et qui a fini par partir de lui-même…
Je pense vraiment que chacun doit rester libre de ces choix. On peut pas obliger quelqu’un à rester ou à partir. Ce que vous faites avec votre site est très bien et on aurait pu difficilement le faire sur le mien car ce que vous recherchiez était un espace de liberté et de discussion illimité avec de la bonne humeur un peu comme dans un bistrot ou dans une soirée (y a pas de connotation négative dans mes propos). Vous avez trouvé un moyen de le faire. Et c’est très bien ainsi. A l’époque sur mon site, c’était impossible. Dans l’avenir, comme je le disais dans mon dernier article, on va permettre à ceux qui le veulent, de se créer leur propre médias avec les rédacteurs qu’ils souhaitent. C’est le projet Agora ad Voxes que j’explique un peu sur mon articulus. Si ça vous dis, vous pourrez bien sûr l’utiliser. Ca vous permettra d’élargir votre communauté. Si vous préférez rester dans la forme actuelle ça me va aussi bien entendu. Liberté complète. Je ne garde pas de rancœurs vis à vis de personne et de vous en particulier malgré les noms d’oiseau que j’ai vu ici ou là à mon encontre sur votre site… J’espère juste que nos récents articles ont pu vu éclaircir un peu sur mes motivations réelles et sur le sens que je donne à ce projet.

Pris au dépourvu, dès la réception, les questions fusèrent:
« Articulus, lui, était-il toujours à bord ?
SPQR, « Servir la Population Qui Râle », était-il toujours écrit au bas du parchemin. »

De ce côté du village, une réponse adéquatus se prépara « Fondationnus? Aucun « contact privilégié »? Incontestable. Oui. Irréprochable? Non. L’absence de l’Imperator dans sa gestion était bel et bien le reproche constant. Les règles du combats des gladiators étaient aussi contestées et non pas cellées dans le bronze, donc … La gestion restait inexpliquée et les modators virtuels plus en nombre n’auraient pu apporter « Qualitus contre quantitus » avec plus de transparence . Voulait-il réellement une alliance entre les villages à l’horizon un vice caché?

Le philosophe Pandanus n’eut pas le temps de réagir, qu’une deuxième précision « pour supprimer toute ambiguïté », comme il y était dit, arriva tout aussi bizarre.

Montrer, d’une part, que je ne privilégiais ou pénalisais aucun rédactor en particulier encore moins les plus virulents (mais c’est pas pour autant qu’on peut interdire quelqu’un de commentaire). Je suppose que vous voyez de qui je parle. Et d’autre part, de vous montrer le nouveau mode de fonctionnement du site et ses nouveautés. Il ne s’agit en aucun cas d’une tentative de récupération de votre communauté. Probablement, pour vous, le plus simple et pratique est de rester là où vous êtes avec votre plate-forme actuelle. Mais si un jour, ça vous tente d’expérimenter la prochaine plate-forme qu’on développe, vous pourrez toujours le faire (ou pas)

De plus en plus étrange! Une série de propositions de rassemblement d’idées, mais en oubliant le passé?

Comme c’est naturel, le tribun Revempli n’y trouva pas chaussure à son pied céleste. Le Zéphyr ne s’accommode pas du tout au « café de commerce », disait-il pour finir. Dans ces conditions, le cours d’eau qui séparait les deux villages ne s’assécha pas. Même Zenus ne put difficilement calmer le flot.

Les Chatus, toutes griffes dehors, s’y mirent pour corser l’ambiance du côté humour. Critiques, parfois suppliques continuaient plus acerbes l’une que l’autre.
Le bigophonus ne grésilla plus.

Le bon peuple des spectators devait désormais choisir ses vacantus lectus sur la rive de gauche ou de droite. Il faut parfois choisir une galère à sa mesure.

L’Imperator, mordicus, mais un peu plus grincheux, reçu les réponses et continua son combat. Le pouce vers le ciel ou vers le sable de l’arène? Personne ne s’en souviendrait. Il se retira.

Les murs roses de l’arène, le sable mœlleux de l’arène n’avaient pas rapporter, manifestement, l’efficacité escomptée. Il le savait.

Il avait eu, sortant du casque, une idée géniale en tête : glisser tous les gladiators dans la classe des « donateurs de spectacle ». Cela devrait résoudre beaucoup de problèmes qui tournaient parfois dans le Forum autour des sesterces réclamées parfois sans le clamer.

Rêver de Romantica était toujours plus romantique que la réalité.

Pandanus se lâcha dans une tirade dont voici les termes. Il le titrait : « PASSONS TOUS AU CAFE »
« Après la romantica, il ne restait plus qu’à voir Venise en passant par Naples et, comme point de chute, les ruines de Romulus reremplies. Là où il ne subsiste qu’AgeCanonix, Vindicus, les deux pieds contre la muraille comme un passe. Ils étaient frères, qu’une louve nourrit et, ainsi, leur permit de survivre « Légende », ils étaient frères mais plutôt que d’en tuer des milliers, devinez ce qu’il en advint :
Romulus tua son frère en combat singulier devant les armées, armes à la main, puis il construisit l’Empire de Rome.
Son frère, Remus, tomba dans les dédales du village Gaulois où un faux Druide tenta de semer Sa « Zizanie ».
Le constat était majestueux. Ils créèrent « Les restants » A la Une Fondiatonus : « Voxus pas Vus », ce fut quelques siècles plus tard ou avant, ou avec « Tranquille », que « Testut » marque succédant à Roberval, créa l’anti-fléau de la « Ménagère ». Le produit « naquit ». Il s’appelait Carolin, celui qui nettoie tout du sol au plafond, qui n’empêche pas à Coluchuss, de faire des Nœuds aux torchons pour laver plus Blanc que Blanc.
Ainsi naquit au Zoo de Vincennes : « La Montagne des Singes » Ils sont des centaines et se renouvellent comme les Morpions, mais c’est leur Empire, avec des arbres en Pierres, même qu’ils se sautent de part en part, ils font cela à la vue et au sus de tous les « visiteurs »
Par contre, lorsque l’on veut les voir, ils se cachent comme pour le Carnaval de Venise ou celui de Rio. « Le vieux fusil », appuyé contre l’arbre qui regardait un Roseau Ravi, fit appel à Vercingétorix qui déclama face à César:
« J’ai pris les Armes pour la Liberté de Tous ».
Cela figure au pied de son monument, comme le Makenpis sur son extrait de naissance.
Un « Corbeau » naquit dans le village, semant une puanteur que les Renards au pied de l’Arbre, regardait le CarloTramwaybus tenant en son Bec l’Armada des Modératiums qui traverse la Ville sans fin.
Cela n’empêcha pas le Pandamus, Patrickus de son prénom d’utiliser du Sopalin democraticus.
Il parait qu’il est plus efficace, que même lorsque les Rosbifs débarquent à la porte des Pots.
Mais, Carlobus continuait à avancer mordant presque, voulant concurrencer les Ventouses pour démontrer C.Q.F.D. « C’est quand faut dire (Rigolons ?) », la concurrence à Bill Gates était Ouverte Née d’une seule Volonté.
Le Vésuve donne de la richesse au sol, par ses cendres, mais pas la même que celle de la Salamandre car là Attention à la Mafia.
Un conseil, lorsqu’il se réveille : N’essayez pas de faire ce qui coule une paire de Chaussures.
Le mauvais prédicateur de la Zizanie Dormeur ne le faisait que d’un œil, on avait oublié que Blanche Neige survécut. Elle avait trouvé, dans sa fuite, sur son chemin, Sept « Nains ».
Le Reflet du Miroir était brisé ?
Non il suffisait de vouloir ou savoir le contourner ou lui répondre clairement, il n’y a plus de d’abonnés au numéro demandé.
Cela mit dans une colère Noire le Corbeau, lui qui était capable de Voler du Gorgonzola.
Il n’avait pas su amener au fond, le Sion au bout de sa ligne.
On n’assista donc pas au retour au berceau, ni de Zeus, ni de Poséidon et encore moins de Ra. Il y avait trop de Chatons en faim de Bagues aux doigts.
Tout le monde ne mordit pas à l’Hameçon.
Ceux qui se retrouvèrent sur le chemin de Damas, n’eurent pas besoin d’à peu près. Ils étaient Clairs.
Puis comme tout ceux qui connaissent la race des Maquereaux, l’Imperator est un excellent poisson que tout le monde se dépêcha de déguster, tant la Tablée, était importante.
De là naquit, un dicton que le Corbeau fit ravaler à Carolus : « Qu’à la Tablée, on s’entasse, et que bien Tassée, soit la Tasse ».
Certains auraient pu pleurer, mais Berthe Sylva entama : « Les Roses Blanches »
C’est Aujourd’hui Dimanche juste à coté du Cendre et tous autant qu’ils étaient ne dormirent pas au pied du Crest.
Tout un chacun voulait un bouclier de Brennus. Mais, admettons et reconnaissons qu’il est plus facile de suivre le parcours d’un Ballon Rond, que celle d’un Ballon Ovale qui de plus est capricieux Gluant lorsqu’il pleut au Stade par ses sursauts que celui qui suit la Ligne Droite en France.
Ainsi naquit A.S.M. : « Amis Sans Mouvance ».
Chaque année, le Corbeau en parle et l’Emperator perd des condisciples.
Ainsi parle l’histoire qui voit tomber tous les tirants.
Heureusement, il restait Verdi, pour colmater les brèches des Cœurs de Nabucco.
Dans le Théâtre Antique d’Orange, Auguste prône et ne met pas le pouce au sol et embrasse la foule de son Regard de Marbre, mais c’est un vrai Empereur Lui.
Puis une certaine Annie Cordy pour emmener tous ceux qui restaient : « Voir la Bonne du Curé », Il paraît que demain on rase gratis.
Mais où donc ?
Silence on tourne.
Cela se passe chez le Coiffeur au « Bistrot du Coin » Enfin chez Nous quoi……
Pandanus Philosophus »

Il fallut bien trouver une fin à l’histoire en commun.

In vinus veritas, pensèrent-ils tous. Ils avaient raison. Comme le disait d’ailleurs la donzelle, Roumanoffus, « Rien ne vaut Radio Bistro ».

Pour ce que cela peut amuser à nouveau une modération inexistante selon les « K » sauf ceux à 100%. Un Reflet de Miroir pour une caresse de Panda.

Celles et ceux du départ sont toujours là !! Allez donc savoir pourquoi, nous sommes obligés de verrouiller ? Alors, il faut montrer qui on est avant d’entrer dans l’arène. Comme disait quelqu’un d’époque : Dura lex, sed lex.

Evidemment certains ont compris éviter le Tétanocus de Remplicus bête rare et méchante.

Enfoirus Mulefritus, Pandanus Philosopus & les « alter ego » d’époque romaine et d’ailleurs… Pierrus Montrealus, Frankia, Finaelus, ChatAPus, Gastus

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