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" LE PANDA VOUS PARLE "
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21 décembre 2006

CENTRES DE MEDIATION

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DECLARATION DES DROITS DE L’ENFANT

7 à 8 millions d’enfants en danger sans compter les adultes ou vulnérables

Les dix principes de l’Enfant
A VOUS LES POLITIQUES DE LES INSCRIRE
DANS VOTRE PROGRAMME PLUTOT QUE D’EN PARLER SANS AGIR !

****************************

1- L’enfant doit jouir de tous les droits énoncés dans la présente déclaration. Ces droits doivent être reconnus à tous les enfants sans exception aucune, et sans distinction ou discrimination fondées sur la race, la couleur, le sexe, la langue, la religion, les opinions politiques ou autres, l’origine nationale ou sociale, la fortune, la naissance, ou sur toute autre situation, que celle-ci s’applique à l’enfant lui-même ou à sa famille.
2- L’enfant doit bénéficier d’une protection spéciale et se voit accorder des possibilités et des facilités par l’effet de la loi et par d’autres moyens, afin d’être en mesure de se développer d’une façon saine et normale sur le plan physique, intellectuel, moral, spirituel et social, dans des conditions de liberté et de dignité. Dans l’adoption de lois à cette fin, l’intérêt supérieur de l’enfant doit être la considération déterminante.
3- L’enfant a droit, dès sa naissance, à un nom et à une nationalité.
4- L’enfant doit bénéficier de la sécurité sociale. Il doit pouvoir grandir et se développer d’une façon saine ; à cette fin, une aide et une protection spéciales doivent lui être assurées ainsi qu’à sa mère, notamment des soins prénatals et post-natals adéquats. L’enfant a droit à une alimentation, à un logement, à des loisirs et à des soins médicaux adéquats.
5- L’enfant physiquement, mentalement ou socialement désavantagé doit recevoir le traitement, l’éducation et les soins spéciaux que nécessite son état ou sa situation.
6- L’enfant, pour l’épanouissement harmonieux de sa personnalité, a besoin d’amour et de compréhension. Il doit, autant que possible, grandir sous la sauvegarde et sous la responsabilité de ses parents et, en tout état de cause, dans une atmosphère d’affection et de sécurité morale et matérielle ; l’enfant en bas âge ne doit pas, sauf circonstances exceptionnelles, être séparé de sa mère. La société et les pouvoirs publics ont le devoir de prendre un soin particulier des enfants sans famille ou de ceux qui n’ont pas de moyens d’existence suffisants. Il est souhaitable que soient accordées aux familles nombreuses les allocations de l’Etat ou autres pour l’entretien des enfants.
7- L’enfant a droit à une éducation qui doit être gratuite et obligatoire au moins aux niveaux élémentaires. Il doit bénéficier d’une éducation qui contribue à sa culture générale et lui permettre, dans des conditions d’égalité de chances, de développer ses facultés, son jugement personnel et son sens des responsabilités morales et sociales, et de devenir un membre utile de la société. L’intérêt supérieur de l’enfant doit être le guide de ceux qui ont la responsabilité de son éducation et de son orientation ; cette responsabilité incombe en priorité à ses parents. L’enfant doit avoir toutes possibilités de se livrer à des jeux et à des activités récréatives, qui doivent être orientés vers des fins visées par l’éducation ; la société et les pouvoirs publics doivent s’efforcer de favoriser la jouissance de ce droit.
8- L’enfant doit, en toutes circonstances, être parmi les premiers à recevoir protection et secours.
9- L’enfant doit être protégé contre toute forme de négligence, de cruauté et d’exploitation. Il ne doit pas être soumis à la traite sous quelque forme que ce soit. L’enfant ne doit pas être admis à l’emploi avant d’avoir atteint un âge minimum approprié ; il ne doit en aucun cas être astreint ou autorisé à prendre une occupation ou un emploi qui nuise à sa santé ou à son éducation, ou qui entrave son développement physique, mental ou moral.
10- L’enfant doit être protégé contre les pratiques qui peuvent pousser à la discrimination. Il doit être élevé dans un esprit de compréhension, de tolérance, d’amitié entre les peuples, de paix et de fraternité universelle, et dans le sentiment qu’il lui appartient de consacrer son énergie et ses talents au service de ses semblables.

Déclaration adoptée par l’Assemblée générale des Nations Unies le 20 novembre 1959
Et recopiée pour le Courrier de l’Unesco par Sophie Brabyn une enfant de 7 ans française.
Les mesures ne se doivent pas d'être répressives, mais dissuasives. Admettre qu'il n'y a pas de petits sales boulots, il y a la dignité de tout être par le travail, qui permet de puiser les ressources de vivre en se respectant.
Il n'y a pas de drogue douce ou dure, il y a la drogue! Richesse des commanditaires du crime, par là passe le blanchiment, de tout ce sur quoi on ferme les yeux et l'on applique volontairement la devise des trois singes : " Tout voir, tout entendre, mais surtout tout ignorer. Autrement dit : La valeur culturelle du sens que certains attribuent à la valeur de l'argent liquide dit : sale !
Il n'y a pas de petite ou grande culture, pas de différence de couleur de peau puisque le sang qui coule est toujours rouge ; et le sperme qui féconde l'ovule : "blanc". Ce que l'on refuse de voir est souvent le plus grand.
Les centres de médiation. On devrait dire plus exactement les "centres de contraintes" pour la majorité de ceux qui y passent, qu'il s'agisse du père ou de la mère, que l'enfant ou les enfants en sortent partiellement voire complètement détruits.
Après l'étude de pas moins de 187 centres, aucun gouvernement de la Vème république n'a été en mesure de légiférer sur des institutions de cet ordre.
Malgré le financement important des tutelles régionales sous forme déguisée, quelque soit la ville où ils se trouvent implantés fonctionnent en toute "illégalité" sous le couvert de la loi de 1901.
Le constat est simple, brutal mais suffisamment expressif. Bien souvent la majorité des magistrats à leur corps défendant rendent des décisions dont ils perdent le contrôle.
Des rapports mensuels sont établis par des gens pleins de bonne volonté mais n'ayant reçu aucune formation adéquate juridique adaptée aux circonstances.
Depuis 1960, sur cette idée non dépourvue d'intérêt dont l'origine nous vient du pays où la statue de la liberté montre du doigt la France.
La maison blanche elle même a avalisé le principe mais un grand vide subsiste car malgré les différents présidents y compris en France le dernier en date après un rapport de plus de 600 pages ayant demandé plus de 4 années de travail ; ne permet pas à ces établissements de fonctionner avec des textes légiférés par le parlement.

Cela relève du scandale, l'enquête un peu plus loin démontre à la lecture de leurs bilans publics les mannes d'argent manipulées, placées sur les différents comptes bancaires non pas de façon mercantile. Le seul constat que l'on peut faire est qu'en dehors du fait non seulement de dépendre du parent qui en a la garde, il se trouve dans l'obligation qu'il le veuille ou pas de voir le parent dont y compris la position peut être analysée par Monsieur le Procureur de la république dans un lieu qui le marquera à vie.
Les termes que vous pourrez trouver dans l'enquête menée dans le cadre des centres de médiations ne sont pas du tout une utopie mais une mascarade comme les pièces de guignol, la seule différence est que l'une entraîne des pleurs, l'autre des rires.
Il serait temps effectivement en dehors des arguments et propositions pour un statut de la médiation familiale en France ; que l'on tienne compte de la valeur et de l'état psychosomatique clé de voûte de la vie qu'il est indispensable de laisser à tout être une fenêtre entrebâillée avec une lueur de clarté dans son avenir pour que quelques images de son enfance puissent y pénétrer.
Tous les rapports établis jusqu'à ce jour y compris celui du mois de juin 2001 remis au Ministre Délégué de la Famille à l'enfance et aux Personnes Handicapés entraînent par voie de conséquences une irrecevabilité des pouvoirs publics alors qu'il s'inscrit de par son initiale conception dans le cadre des finalités politiques publiques qui se doivent avant tout d'avoir pour objets le maintien de la cohésion sociale axé sur la réflexion, sur les liens à établir.
Un trop grand libéralisme, qui représente 92% dans les 15 ans qui suivent les ordonnances rendues, des parias de la société passant du tribunal pour enfants à la détention préventive par une étape qui se veut éducative devant un magistrat siégeant au niveau d'un tribunal correctionnel.
Ce qui est beaucoup plus grave est de constater que des établissements ou l'internat en fonction de l'incapacité de certains parents à gérer des situations de crise font que pas loin de 70 000 enfants entre 13 et 15 ans se trouvent eux même parents avant d'avoir eu le temps de grandir.
Le développement démontrera avec une certaine amertume pour d'autres à l'état de choc entraîne le suicide ; il faudrait peut être concevoir un médiateur et non pas des institutions incapables par manque de textes de faire appliquer des lois sur la protection de l'enfance (y compris celle de 1988 rendant obligatoire la communication de toute pièce relative à la vie quotidienne de l'enfant par le parent qui en a la garde) "sortis du cadre de la PMI (protection maternelle infantile)". Lorsque l'on constate la masse des salaires versés aux différents prestataires, on peut comprendre le démantèlement de l'Education Nationale.
Plus de 15 ans de travail par une présence active sur le terrain. L'échec n'est plus à prouver mais par contre la solution peut être trouvée. Les magistrats en sont conscients, laisser cette situation en l'état ; vous qui rendez ces décisions d'un ordre aussi important, ne bottez pas en touche parce que vous n'avez pas la possibilité de faire autrement.
Renvoyer des institutions d'état dos à dos pour ne pas avoir à trancher un dilemme qui fait de l'enfant un cadre noir aussi bien que pour ceux qui veulent bien y croire. "Ceci n'est pas un conte de fées, ni une répression à l'encontre de quiconque mais de rendre à tout enfant le message qu'il transmet et qui trouvera sa continuité dans l'objectivité avec laquelle vous prendrez connaissance du mode de fonctionnement des centres de médiation ou si vous même vous avez eu à pâtir de ce type de situation.
En aucun cas nous ne voudrions être juge d'une situation pareille mais simplement avec simplicité donner la parole aux acteurs partenaires d'une pièce de théâtre dont pas plus Racine que Corneille n'auraient voulu. C'est avec le maximum d'objectivité, nous vous l'affirmons, que le démantèlement de certaines actions vous permettrons d'ouvrir un débat qui permet d'assurer le devenir de ce que le monde porte de plus cher en lui comme lorsque l'enfant naît.
Un petit cadeau, juste avant noël, pour tous les enfants et les parents sur la valeur de la solitude des enfants fruits de la force de vies, les nôtres. Les sectes dénombrent un lavage de cerveau qui ne s’applique pas au chiffre peu crédible de 1 million d’enfants laissés à l’abandon. Vouloir faire les constats qui s’imposent, remettre en cause la valeur des textes qui légiférant en l’Etat, volent la vie, les finances au profit de gourous qui se cachent de façons criminelles derrière des manipulations de tous ordres.

http://www.prevensectes.com/tj.htm Ceci pour les Témoins de Jéhovah !
http://prevensectes.com/tj38.htm Toujours pour expliquer comment ils réussissent à ne pas payer de taxe foncière
http://www.antisectes.net/delphi.htm Lire là juste avant confirme le gouffre
http://www.prevensectes.com/ots1.htm La secte du Temple solaire un cataclysme moderne qui perpétue tous types de meurtres, avec le parrainage des plus grands Etats dits civilisés.
http://www.prevensectes.com/jones1.htm Ces liens nous paraissent indispensables, merci aux concours de toutes et tous ceux qui permettent de faire comprendre les dangers que courent la majorité des personnes se laissant prendre à ces types de piéges.

Ne pas le faire au moment ou les personnes sont les plus vulnérables car les plus isolés, reste un manque de civisme pour ne pas citer l’humanisme. La pauvreté n’est pas un défaut comme le prétend Nicolas Sarkozy et bien d’autres. Elle est le fruit du laxisme des dirigeants de personnes qui tombent dans une certaine forme de détresse à un moment donné.
De cela aucun de nous n’est à l’abri, en prendre connaissance et faire circuler l’information est le meilleur devoir que nous ayons comme petites missions au nom de toutes celles, ceux qui ont disparus et ceux qui restent à venir, alors la réponse se trouve dans les textes ne pas baisser les Bras.

Le Panda
Patrick Juan.

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